1.Ces pays ont également dit qu'ils collaboraient avec le GIEC afin de mieux comprendre les changements climatiques présents et à venir.
这些国家还说,参与专的工作有助于更好地了解候变化的当前状况和未来前景。
2.Malheur à la terre et à la mer!car le diable est descendu vers vous, animé d'une grande colère, sachant qu'il a peu de temps.
只是地与海有祸了,因为魔鬼知道自己的时候不多,就忿忿地下到你们那里去了。
3.Les évaluations du GIEC et des études toujours plus nombreuses permettent de déterminer avec une précision grandissante comment cette évolution du climat physique se répercutera sur la vie humaine.
专的评估和不断增多的研究越来越详细地揭示了物理候的这些变化将如何影响人类的生活。
4.Dans le contexte des dispositions de la Convention, le SBSTA a pris note du plan du GIEC qui vise à assurer une prise en compte systématique des terres émergées.
在《公约》要求的范围内,附属科技咨询机构注意到专于一贯地研究土地领域问题的计划。
5.Il fallait aussi renforcer la coopération avec les organismes intergouvernementaux, en particulier le GIEC, simplifier les rapports techniques et veiller à ce que ces documents soient traduits et largement diffusés.
6.Le SBSTA a noté que le rapport spécial offrait une évaluation complète des aspects scientifiques, techniques, environnementaux, économiques et sociaux de la fixation et du stockage du dioxyde de carbone.
7.De plus, dans certains cas, les Lignes directrices du GIEC n'étaient pas assez claires pour que les Parties communiquent des données cohérentes, par exemple, s'agissant de l'estimation des émissions ou du piégeage dans les forêts exploitées.
8.Dans son rapport, le GIEC a dressé un tableau sans fard de la situation et expliqué clairement que l'homme avait déjà modifié le climat et que poursuivre comme si de rien n'était les politiques actuelles aurait des conséquences inacceptables.
9.Notant que les récentes conclusions du quatrième rapport d'évaluation du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat avaient mis fin au débat scientifique, il a dit que les changements climatiques étaient bien réels et qu'ils tendaient à s'accélérer.
10.Les Lignes directrices du GIEC prévoient aussi que les Parties peuvent utiliser les méthodes nationales qui, à leur avis, sont mieux adaptées à la situation de leur pays, à condition qu'elles soient compatibles avec les Lignes directrices du GIEC et qu'elles soient bien établies.
11.Par ailleurs, des Parties ont indiqué que les termes utilisés dans la section des Lignes directrices concernant le changement d'affectation des terres et la foresterie n'étaient pas parfaitement compris par les experts de Parties non visées à l'annexe I et qu'il fallait donc mieux les expliquer.
12.L'Organe subsidiaire de conseil scientifique et technologique (SBSTA) a pris note avec satisfaction de l'exposé du GIEC décrivant l'avancement de ses travaux et son projet de programme de travail sur le secteur de l'utilisation des terres, du changement d'affectation des terres et de la foresterie.
13.Conformément aux Lignes directrices du GIEC, les Parties visées à l'annexe I peuvent également utiliser des méthodes nationales qu'elles considèrent comme mieux adaptées à la situation du pays, à condition que ces méthodes soient compatibles avec les Lignes directrices et le Guide des bonnes pratiques du GIEC, solidement étayées et scientifiquement fondées.
14.Les coefficients d'émission par défaut fournis dans les Lignes directrices du GIEC pour le changement d'affectation des terres et la foresterie, l'agriculture, les déchets et les émissions fugaces de méthane, ainsi que pour les émissions d'autres gaz que le CO2 provenant de la combustion de combustibles, ne sont pas toujours bien adaptés à la situation nationale de nombreuses Parties non visées à l'annexe I.
15.Cependant, un expert a fait valoir que la méthode de niveau 1 du GIEC, qui utilise des valeurs par défaut et des données relativement grossières sur le plan spatial était trop rudimentaire pour permettre l'établissement de niveaux d'émission de référence et que, même en prévoyant une amélioration progressive des données et des approches, le fait d'appliquer initialement cette méthode pourrait nuire à la solidité des résultats.
16.Certaines de ces dernières sont déjà rentables en toute circonstance ou presque, même en l'absence de subventions : les fours solaires; les pompes d'eau éoliennes mécaniques; l'énergie éolienne connectée au réseau et hors réseau; l'énergie solaire photovoltaïque pour la production d'électricité et pour l'usage agricole dans des zones isolées; l'énergie hybride éolienne solaire; les collecteurs solaires pour le chauffage et l'eau chaude; le biogaz; l'énergie microhydroélectrique et picohydroélectrique.