2.L'armée et la police indonésiennes auraient empêché des agents humanitaires, des journalistes et des observateurs internationaux de se rendre dans des camps au Timor occidental et d'interroger les Timorais.
3.Des plaintes ont aussi été reçues de femmes dont les maris, les frères ou les enfants auraient été arrêtés et qui n'auraient pas osé aller au siège de la police ou des services de sécurité demander ce qu'étaient devenus leurs proches par peur d'être elles-mêmes arrêtées.