Le même rapport note également une augmentation de la proportion d'États exigeant que soient déclarés les instruments au porteur, celle-ci passant de 31 % à 45 %.
Le GAFI suggère également que l'autorité compétente soit autorisée à demander et obtenir des renseignements des passeurs de fonds qui sont libellés dans une monnaie non précisée ou d'effets négociables au porteur, s'ils sont découverts, et puisse les interpeller.