La sanction qui consiste à interdire l'exercice de leur profession aux journalistes qui ont menti au sujet de leur collaboration est une violation manifeste de la liberté d'expression.
Sur les 353 femmes employées à l'Agence de presse d'État de la République islamique, 291 travaillent dans les bureaux de rédaction, utilisant les systèmes informatiques et télématiques.
Toutefois, il n'en est pas moins préoccupé par le fait que ces trois journalistes ont été traduits en justice et inculpés en raison de leur travail par un tribunal militaire d'exception.
Compte tenu de la diversité des langues parlées dans la région, le centre continue de faire appel à des bénévoles, notamment des stagiaires étudiants, pour appuyer ses efforts d'information.