Ce qui le détermina à entreprendre l'étude du russe, ce fut le désir de lire les documents réglés par les commissions d'enquêtes officielles, documents dont le gouvernement du tsar empêchait la divulgation.
En effet, si on regarde une carte de l’Ukraine. Ici une carte se basant sur le recensement de 2001, on peut voir qu’il y a des zones où on parle ukrainien et des zones où on parle plutôt le russe.