Le premier numéro d'une nouvelle publication paraissant deux semaines seulement après l'interdiction du journal auquel elle succédait annonçait : "Fatth estime qu'aucun interdit ne frappe les opinions et les débats politiques, - hormis ceux que prononce la Constitution - et qu'aucune personnalité officielle n'est à l'abri de la critique".
有一份出版物遭禁,但不到两个星期就又以新的面目出现,并在创刊号上公然宣称:“……《Fatth》认为,除了《宪法》明确规定的禁忌外,言论和政治讨论不应有任何禁忌,人们可批评任何官员”。