Les bouleversements politiques qui se sont dernièrement produits dans les Balkans sont à cet égard, nous en convenons tous, porteurs de nouveaux espoirs.
Tout le monde peut comprendre ce que cela signifie en regardant la carte de l'Europe du Sud-Est et des Balkans occidentaux depuis la partition de l'ex-Yougoslavie.
Il est de plus très important de mentionner que la coopération régionale dans les Balkans continue d'augmenter grâce, notamment, aux bonnes relations avec les pays voisins.
L'histoire des Balkans, de l'Europe du Sud-Est, ou des pays situés dans la péninsule des Balkans, comme les membres le savent, abonde d'exemples de conflits armés.
L'initiative "3x3" dans les Balkans est considérée comme un modèle pour la mise en oeuvre de solutions en faveur des réfugiés moyennant une étroite coopération et une approche trilatérale.
Il est d'une importance primordiale pour la paix et la stabilité sur le continent européen que des solutions durables soient trouvées aux problèmes non réglés dans les Balkans occidentaux.
De tristes expériences, par exemple dans les Balkans, nous rappellent que de nombreuses insuffisances subsistent dans les capacités de prévention et de gestion des conflits de la communauté internationale.
Les opérations que l'Union européenne a menées dans les Balkans, sous mandat du Conseil de sécurité, et son expérience en République démocratique du Congo représentent un banc d'essai très utile.
C'est pourquoi, nous croyons que ce problème doit être abordé de façon stratégique, quant au fond, pour trouver une solution qui tienne compte de toute la complexité des relations dans les Balkans.
La Commission est convenue qu'il fallait continuer d'accorder la priorité aux demandes d'assistance émanant des pays en transition les plus vulnérables, en particulier ceux de la Communauté d'États indépendants et des Balkans.
La Russie pense que la mise en oeuvre complète et déterminée de la résolution 1244 (1999) du Conseil de sécurité est un élément important pour la stabilisation de la situation dans les Balkans.
Comme lui, 100 ans plus tard, ces jeunes ont découvert les Balkans, mais aussi un métier, le journalisme, et tout cela avec une langue commune, le français.
L’intérêt de ce projet, c’est qu’il permet à des jeunes Français de découvrir les Balkans, mais aussi à des jeunes de cette région de découvrir leurs cultures respectives, regardez.