6.La responsabilité en incombe aux dirigeants politiques des deux entités qui ont fait obstacle à tout progrès et exacerbé les tensions par leur rhétorique agressive.
7.L'État partie rappelle que dans toutes les décisions mentionnées il était relevé que les propos contenus dans la lettre étaient «déplacés», «de mauvais goût» et «injurieux et offensants».
8.L'auteur avait joint à cette lettre une note désobligeante à l'égard du Comité et de l'Organisation des Nations Unies en général, évoquant leur incapacité supposée à lui être d'un réel secours.
9.Alors que ceux qui se livrent à la guerre des mots agissent de façon irresponsable, nous pouvons tout de même faire preuve d'optimisme à l'égard des États Membres qui reconnaissent l'importance de la question et qui s'unissent pour endiguer la montée de cette tendance.
10.Toutefois, comme je l'ai indiqué dans mon rapport précédent, l'absence de tout progrès propre à sortir le processus de paix de l'impasse dans laquelle il se trouve signifie que la stabilité militaire demeure réellement menacée, situation que n'arrangent guère les propos hostiles que les parties continuent d'échanger.