3.Le Conseil de sécurité ne saurait être brusqué et obligé ni à entériner des décisions hégémoniques et arbitraires, dérogatoires à la Charte des Nations Unies et à la souveraineté de tous les États, ni à imposer des clauses de traités aux États non parties, ni à réinterpréter les instruments convenus par les parties ou à leur imposer des modifications, en violation flagrante du droit des traités pour accorder l'impunité aux États puissants et à leurs forces armées.
9.C’était là une importante question, que Cyrus Smith avait hâte de résoudre, et cependant il ne voulait pas brusquer son malade ! Pour lui, l’inconnu n’était qu’un malade ! Serait-ce jamais un convalescent ?