La ministre de l'éducation finlandaise n'a ainsi pas manqué de noter une évolution «inquiétante» alors que son pays descend à la troisième place après avoir caracolé en tête depuis 2000.
Mais celui que l'on voyait caracoler, doué comme il l’était pour l'existence et le plaisir, n'était pas le ludion auquel quelques esprits chagrins tentèrent, d'ailleurs en vain, de le réduire.