Puis il ramassa la peau flasque du laquais, la tapota un peu pour faire tomber le sable et l'enroula sur le rocher, comme on aurait enroulé un ballon dégonflé.
L’orage touchait à sa fin. Les larges gouttes de pluie faisaient place à de légers embruns qui s’éparpillaient au souffle du vent, et les gros nuages dégonflés se coupaient par bandes dans les hauteurs du ciel.