Selon les deux plaintes déposées contre eux, les espions présumés «prétendent» être Américains, Canadiens ou Péruviens, mais leur nationalité réelle n'est pas explicitement indiquée.
Au Rwanda, le génocide exploitait des stéréotypes raciaux et sexistes : c'est ainsi que les femmes tutsi étaient décrites comme des tentatrices maléfiques et des espionnes.