1.Dans la plupart des cas, l'homme est infecté en inspirant un air contaminé par des particules en suspension issues des sécrétions et des excrétions du rongeur sylvicole, vecteur de la maladie.
2.Cinq des six localités présentaient des niveaux d'iode urinaire en deçà du point critique accepté, tandis que 36,3 % des échantillons faisait apparaître des excrétions d'iode urinaire de teneurs jugées déficientes d'une manière modérée à sévère.