Entre les plus admirables se distinguaient les « casuarinas » , qui semblent avoir emprunté au chêne la structure robuste de son tronc, à l’acacia ses gousses odorantes, et au pin la rudesse de ses feuilles un peu glauques.
D'ailleurs, petite anecdote rigolote : vu que le déodorant n'existait pas à l'époque et bien ces mesdames mettaient des plantes odorantes dans leurs poches intérieures comme ça elles sentaient bon.