3.Après confirmation de l'arrivée de l'échantillon en Belgique, le Groupe d'experts a demandé aux autorités belges de l'aider à déterminer si M. Balenda et M. Rukeba vendaient le pyrochlore légalement.
4.Le Groupe ne pense pas qu'un embargo sur le pyrochlore congolais aurait des conséquences économiques négatives plus larges sur la population locale, puisqu'il n'existe pas de production officielle et que, par conséquent, aucun emploi légal ne serait perdu.
5.Tant la société Gesellschaft für Elektrometallurgie que la société Krall Metals Congo ont confirmé au Groupe que ni M. Balenda ni M. Rukeba ou sa compagnie, Kimicom, n'avaient été autorisés par elles à exporter ou à vendre du pyrochlore provenant de la mine de Lueshe.
6.En raison d'interruptions fréquentes de l'extraction, des difficultés d'exportation du pyrochlore dues aux obstructions du gouvernement provincial, de la mauvaise gestion et des conséquences grandissantes du conflit avec Edith Krall Consulting relatif aux droits de propriété, la SOMIKIVU, qui avait été une entreprise rentable, est devenue un fardeau pour Albers.