Nous l'étions. Marthe Rochas avait déjà surmonté sa déception passagère, et, oubliant cet insatisfaisant égarement, était passée à autre chose. Rhabillée, reconditionnée, elle endossait à nouveau son habitus professionnel.
S’étant rhabillée et ayant formé une tresse de ses longs cheveux, Élisa se rendit près d’une source jaillissante, but dans le creux de sa main, et s’enfonça dans la forêt, sans savoir où elle allait.
Trois à quatre fois par jour, il fallait soulever Paul, l'allonger pour le déshabiller et le porter aux toilettes, le changer comme un nourrisson, ramener ses jambes mortes, le tourner et le retourner, le rhabiller.