Le médecin avait conclu que l'auteur avait été soumis à des tortures et l'avait orienté vers un rhumatologue et une équipe psychosociale pour examen plus poussé.
J'ai, par exemple, parlé de la nutrition avec la rhumatologue, celle qui s'occupe des articulations, mais elle me dit : « Non, non, ce n'est pas un problème d'alimentation. »