La deuxième partie concerne les plaintes et les arrestations et la troisième partie la réformation des prostituées, leur rééducation et leur réinsertion.
Les demandes de réformation par la Cour des jugements du TANU passaient par un organe spécial, le Comité chargé d'examiner les demandes de réformation des jugements du Tribunal administratif.
De surcroît, d'après le Statut du TANU, la saisine de la Cour était soumise à l'autorisation, non d'un organe judiciaire, mais d'un organe politique, à savoir le Comité de réformation des jugements du Tribunal.