4.En effet, bien qu'étant les témoins des conséquences des traitements inhumains infligés aux détenus - blessures, mains tuméfiées, traces de violence - ils gardent le silence et agissent comme s'ils ignoraient que la torture était pratiquée.
5.3 L'auteur affirme qu'elle a rendu visite à son fils (à une date non précisée) dans le quartier d'isolement du centre de détention temporaire d'Akhangaran, et l'a trouvé en très mauvais état: il avait la tête et les cheveux couverts de sang, le visage tuméfié et déformé, il ne pouvait pas parler et pouvait à peine bouger les lèvres.