Très logiquement, le dernier porteur du nom de Péricourt, Paul, recevait trois millions de francs en obligations sur l'État, donc sans espoir de profits importants, mais dont la valeur ne s'éroderait pas avec le temps.
Mais c'est un continent sur lequel la liberté de la presse est en train de s'éroder, et l'exemple le plus extrême c'est que ces dernières années, des journalistes y ont été assassinés.