Malgré une cote de popularité en berne, le président peut donc gouverner et mettre en place ses réformes car, en face, les forces d'opposition sont largement divisées et désorganisées .
S’il m’envoie son poignard, c’est que le sultan refuse de le recevoir en grâce, et je mets le feu ; s’il m’envoie son anneau, c’est que le sultan lui pardonne, et je livre la poudrière.