Le Conseiller juridique s'est dit d'avis que dans la situation critique actuelle, l'intervention du Conseil présentait moins de risques que l'absence d'intervention.
Il faudrait décourager et éviter les demandes dépourvues de fondement et les manœuvres destinées à empêcher ou retarder abusivement le processus de réalisation.
L'expérience récente permet de douter du postulat selon lequel des marchés libres et la non-intervention constituent la solution au problème de la corruption.