De plus, les États Membres doivent renouveler leur engagement à protéger les plus vulnérables d'entre eux et à répondre aux besoins spécifiques de l'Afrique.
La protection de l'état de droit aux niveaux international et national et la protection des plus vulnérables sont au cœur d'un système multilatéral fort.
L'heure est venue de prendre des mesures décisives et coordonnées afin de défendre les faibles et les vulnérables, en particulier les femmes et les enfants.
Nombreux sont ceux qui ont souligné au cours de l'histoire qu'aucune société humaine ne pouvait survivre durablement si le fort ne protégeait pas les droits du faible.
Par ailleurs, la coopération régionale peut offrir d'autres moyens de protéger les acteurs les plus faibles contre des forces du marché non maîtrisées et contre les chocs imprévisibles.
C'est selon nous, la manière dont nous pouvons le mieux rendre notre État capable de protéger les personnes vulnérables et de fournir à nos citoyens les moyens de construire une vie meilleure.
De plus en plus de citoyens du monde se demandent si l'Organisation des Nations Unies a la capacité ou même la volonté d'empêcher les conflits et de protéger les personnes vulnérables de l'injustice.
Les auteurs soutiennent que ce rapport n'est pas très évoqué : les ouvrages appuient explicitement l'égalité mais suggèrent de façon implicite que la femme est une « créature faible qui a besoin d'être protégée ».
Ils avaient envisagé un ordre mondial dans lequel la vie des innocents et des faibles serait protégée, mais non un ordre fondé sur le pouvoir militaire et la loi de la survie du plus fort.