Mes camarades ont une vocation ferme, c’est-à-dire qu’ils voient dans l’état ecclésiastique une longue continuation de ce bonheur : bien dîner et avoir un habit chaud en hiver.
Après j'ai participé à des reportages un peu plus élaborés... euh... on allait filmer des restaurateurs, on mangeait très bien, on était invités, c'était formidable.
Il ne retirait pas volontiers ses mains de dedans ses poches, et n’épargnait point la dépense pour tout ce qui regardait sa vie, voulant être bien nourri, bien chauffé, bien couché.
Mais s’il était à son aise, ça ne te ferait pas de peine d’être bien logée, bien nourrie, bien vêtue et dans une famille de braves gens qui te permettrait d’assister ta mère ?
Une fois marié, il vécut deux ou trois ans sur la fortune de sa femme, dînant bien, se levant tard, fumant dans de grandes pipes en porcelaine, ne rentrant le soir qu’après le spectacle et fréquentant les cafés.