3.A défaut, le nouveau propriétaire est tenu au paiement de tous les imp ts fonciers restant dus, relatifs à l'immeuble, solidairement avec l'ancien propriétaire.
4.Par suite d'une décision du Tribunal fédéral de grande instance, le montant des impôts immobiliers récoltés durant l'exercice 2003 a baissé de 40 % par rapport aux années précédentes.
5.L'imp t foncier est d par le propriétaire, même si par la convention de bail, le locataire s'est engagé à le payer et si cette circonstance a été portée à la connaissance de l'Administration.
6.Avec la réforme du régime de l'impôt immobilier et l'augmentation de la masse imposable due à la construction de nouveaux logements, les recettes au titre de l'impôt immobilier devraient s'accroître sensiblement dans les années à venir.
7.Le compte de taxes foncières sur des bâtiments appartenant à Emmanuel Shaw dépasse de loin les comptes de taxes foncières de Charles Taylor, de Jewell Taylor ou d'Edwin Snowe, ce qui indique que Shaw possède des biens immobiliers.
8.Il existe des facilités financières et de crédit qui permettent à la population d'avoir accès aux logements construits par l'État, avec des subventions supérieures à la moitié de leur coût, sans impôts fonciers et avec une pleine garantie d'occupation.
9.Les méthodes d'évaluation des biens fonciers sont également beaucoup plus sophistiquées en raison de l'introduction de systèmes d'information géographique permettant aux gouvernements de recourir à des méthodes d'estimation de masse des biens fonciers, et donc d'améliorer le régime de fiscalité immobilière.
10.À l'échelon municipal, les travaux menés par le Fonds, avec le concours d'autres organismes oeuvrant en faveur de l'égalité des sexes, a permis à l'Assemblée municipale de Prizren d'adopter une loi en vertu de laquelle les femmes chefs de ménage (dont beaucoup sont veuves du fait de la guerre) sont exemptées des taxes immobilières.
11.En ce qui concerne le chapitre III B, relatif à l'exonération d'impôts, la délégation libyenne note avec satisfaction que le problème de taxe foncière concernant l'immeuble de la Mission libyenne à New York a été réglé équitablement et une fois pour toute, le Bureau du Commissaire de la ville de New York ayant fait sienne l'opinion exprimée par le Département d'État des États-Unis et reconnu la justesse du point de vue de la Libye, à savoir que l'impôt demandé était illégal.