La mise en place de commissions du changement a permis aux citoyens d'exprimer directement leur point de vue quant à la prestation des services sociaux.
La Directrice d'UNIFEM, Chandani Joshni, a demandé des solutions concrètes, notamment pour permettre aux femmes de faire entendre leur voix dans les processus de paix.
Sans aller jusqu'à réclamer l'indépendance, de nombreux Caïmanais avaient de plus en plus exprimé le souhait de pouvoir mieux décider de l'administration de leur vie quotidienne.
Ils s'aliènent ainsi d'autres États qui estiment pour leur part que leur contribution financière leur donne le droit d'avoir le dernier mot sur ces mêmes questions.
Par exemple, les institutions officielles qui soutiennent le développement agricole exigent désormais que les hommes et les femmes décident conjointement de l'utilisation des crédits qu'elles leur accordent.
Le problème est plutôt d'offrir aux jeunes des possibilités d'emploi et de subsistance et de leur donner une voix et une influence dans les décisions qui les concernent.
Dans le premier cas, il est souhaitable que le tribunal contrôle non seulement la décision de recruter un professionnel mais également les coûts et frais associés à ce recrutement.
Il faut instaurer un système où puissent s'exprimer ceux qui n'ont pas droit à la parole dans les instances des institutions qui jouent un rôle décisif dans la mondialisation.
Cette initiative a permis de rallier davantage de pays à cette cause et, par conséquent, d'accroître le nombre de pays contribuant au Fonds d'affectation spéciale pour la prévention des catastrophes.
Elle encourage la Ministre déléguée à identifier des hommes tels que l'Ambassadeur qui appuieront les stratégies requises pour créer des institutions dans lesquelles les femmes auront leur mot à dire.
Il peut toutefois permettre de donner la parole à des gens qui n'en font pas partie et qui ne partagent aucune des dépenses découlant des politiques ou négociations qui s'ensuivent.
Il est probable qu'ils auront plus d'influence dans ces dernières, dans la mesure où ils ont le sentiment d'avoir plus de poids dans les analyses réalisées par les organisations régionales.
Le deuxième principe est que le Gouvernement intérimaire iraquien et le Gouvernement de transition iraquien devraient à notre sens avoir réellement voix au chapitre sur le statut final de ces forces.
Pour de nombreux petits États, il importe également d'avoir une voix au Conseil, mais nous sommes probablement mieux servis par d'autres Membres qui sont en mesure d'agir de manière efficace au Conseil.
Conformément à l'objectif du Millénaire pour le développement visant l'élimination de la pauvreté, il importe que les populations autochtones aient leur mot à dire sur la façon dont les terres traditionnelles sont gérées.