Le tribunal a aussi noté que les registres d'investisseurs et les comptes clients se trouvaient hors des îles Caïmans et qu'aucune contrepartie susceptible de maîtriser des accords de rachat ou d'échange n'était basée aux îles Caïmans.
Par contre, la possession de ces armes peut amener les gouvernements à penser qu'un opposant ne poussera pas le conflit à l'extrême et peut donc conduire les gouvernements à mener une politique du bord de l'abîme en considérant que les armes nucléaires garantissent que toute guerre sera limitée et que les risques éventuels pour leur pays seront par conséquent exclus, même en cas de conflit armé.