La monétarisation de l'économie burundaise oblige la femme à contribuer à la recherche de nouvelles sources de revenus pour subvenir aux besoins de la famille.
L'idée que les coûts pris en charge en matière d'éducation doivent être proportionnels aux moyens financiers s'est ainsi concrétisée sous la forme de subventions accordées aux plus démunis, lesquels sont ainsi en mesure de surmonter leur incapacité de se passer de la contribution des enfants à la subsistance de la famille.