Comme indiqué plus haut, une imprimerie et les bureaux de plusieurs grands journaux ont été mis à sac par de « jeunes patriotes » et n'ont pas rouvert depuis.
Il se rendit à la Préfecture de police, aux journaux, pour faire promettre une récompense, aux compagnies de petites voitures, partout enfin où un soupçon d'espoir le poussait.
Aujourd'hui, s'ils ne sont pas abonnés, les Français achètent généralement leur journal au numéro, dans une maison de la presse, au kiosque ou au bureau de tabac.
Il m'a dit: «Les voilà.» J'ai demandé: «Qui? » et il a répété: «Les journaux.» Il connaissait l'un des journalistes qui l'a vu à ce moment et qui s'est dirigé vers nous.