Nous partageons à cet égard l'analyse du Secrétaire général, surtout lorsqu'il dépeint le tableau aussi sombre qu'alarmant que présente actuellement la Côte d'Ivoire.
Après les espoirs de Madrid, Oslo, Camp David et Taba, l'absence de perspective nourrit aujourd'hui le désespoir, les extrémismes et toutes les former de violence.