5.Ceci confirme la nécessité d'annuler les dettes qui ne peuvent pas être remboursées sans imposer une lourde charge à la population indigente de la région.
6.Je n'ai pas besoin d'insister sur le fait que la plupart des pays touchés ont également de lourdes responsabilités en matière de service de la dette.
7.Le remboursement et le service de la dette limitaient sa capacité d'exécuter des programmes de lutte contre la pauvreté et de réaliser les objectifs du Millénaire pour le développement.
8.Quatrièmement, malgré les difficultés multiples rencontrées dans les domaines économique et social, les pays africains lourdement endettés continuent de consacrer davantage de ressources au service de la dette qu'à l'éducation et à la santé.
9.Une fois les travaux de rénovation achevés au bout de cinq ans, les sommes prêtées par le pays hôte seraient transformées en un prêt permanent remboursable sur 25 ans, à un taux annuel de 5,54 %.
10.Rien que dans la décennie écoulée, le Kenya, par exemple, a alloué plus de ressources pour s'acquitter de ses obligations liées au service de la dette extérieure qu'il n'en a, en fait, reçu des pays donateurs.
11.Le montant annuel des remboursements (principal et intérêts) serait de 89,8 millions de dollars et le montant total des remboursements au pays hôte s'élèverait à 2 511 000 000 de dollars durant toute la durée du prêt, y compris la phase de construction.
12.Contrairement à la clientèle traditionnelle, venant souvent des industries familiales et du petit commerce, les producteurs agricoles sont vulnérables face aux conditions climatiques et ont besoin de microassurance pour se prémunir contre le risque de pertes et l'incapacité d'assurer le service des microprêts qui en découle.
13.Cela m'amène à réitérer l'appel que mon pays ne cesse de lancer en faveur de la remise de la dette extérieure des pays africains, dont le service continue d'absorber les maigres ressources financières qui sont nécessaires pour financer, dans les pays concernés, les besoins fondamentaux pour le développement socioéconomique et les infrastructures.
1.Son orgueil lui offrait l’illusion de n’accepter que comme un prêt la somme offerte par le maire de Verrières, et de lui en faire un billet portant remboursement dans cinq ans avec intérêts.