C'est ainsi que les transactions soupçonnées de financer des actes terroristes seront signalées et suspendues comme celles soupçonnées de blanchir des capitaux.
Ainsi le quotidien français La Croix serait totalement interdit de diffusion et les quotidiens français Le Monde et Libération auraient été saisis plusieurs fois.
Cette situation fait naître un climat de censure et d'autocensure généralisées parmi les journalistes enquêtant sur le trafic de drogues et les journalistes communautaires et autochtones.
Les mesures de répression devaient viser ceux qui bénéficiaient du trafic au plus haut niveau et que leur richesse rendait plus susceptibles encore de corrompre l'État.
Les investigations ont mis à jour de graves problèmes touchant l'identification et le gel de leurs avoirs, en particulier des avoirs autres que les comptes bancaires.
La FIDH et la LDDH ont recommandé de réformer la loi relative à la liberté de communication et de lever la censure des différents supports médiatiques.
Les subdivisions du Ministère de l'intérieur du Bélarus prennent des mesures afin de détecter et de réprimer les activités des individus appartenant à des groupes ethniques criminels.
Le Canada juge inquiétantes les informations crédibles faisant état d'une répression politique, d'arrestations et de détentions arbitraires, de torture, de censure et d'oppression des groupes religieux minoritaires.
La deuxième polémique, c'est la loi contre les fake news d'Emmanuel Macron et c'est vrai que si un état décide de censurer des choses sur internet, ça commence à puer !