1.Mais, selon elle, l'on comprend difficilement pourquoi un détecteur de mensonges a été utilisé si la preuve ainsi obtenue n'est pas admissible devant un tribunal.
2.Le conseil relève que la première fois que l'auteur a demandé le statut de réfugié, la demande a été déclarée recevable alors qu'il y avait des variations dans le récit qu'il avait fait de son passé; de plus les organes de sécurité canadiens ont détruit les preuves qu'ils détenaient, notamment les interrogatoires de l'auteur et les enregistrements obtenus par polygraphe, et n'ont fourni que des résumés.