1.Leur montant est déterminé par les taux appliqués aux comptes à vue et aux dépôts à court terme en dollars des États-Unis ainsi que de l'encaisse du PNUCID.
2.Le montant des intérêts est fonction des taux applicables aux comptes à vue libellés en dollars des États-Unis et aux comptes de dépôt à court terme ainsi qu'à l'encaisse du PNUCID.
3.Par exemple, les banques commerciales restent limitées dans leur capacité à fournir un financement à long terme aux petites entreprises en dépit de la nature à court terme de leurs produits.
4.2- Grand accroissement des dépôts en liquide par un client ou une entité commerciale sans raison apparente surtout si le transfert se fait dans une courte période, du compte vers une destination sans rapport avec le client.
5.De l'avis du Comité, l'encaisse et les dépôts à terme ainsi que les placements à court terme sont de la trésorerie ou un équivalent de trésorerie et doivent donc figurer en tant que tel dans l'état des flux de trésorerie.
6.La gestion commune des placements a permis à la Trésorerie de limiter à environ 20 à 25 % du portefeuille la part des placements à très court terme, ce qui permet de placer le solde sous forme de titres négociables à revenu fixe.
7.Toutes les autres transactions sont des dépôts à court terme de ressources provenant de fonds d'affectation spéciale administrés localement, qui ne sont pas immédiatement nécessaires à la conduite d'opérations liées au programme, conformément au Règlement financier et aux règles de gestion financière.
8.La date d'échéance n'est pas un facteur déterminant dans le choix des placements dans la mesure où la Trésorerie garde un pourcentage suffisant de fonds (20 à 25 % environ) en dépôts à court terme, le reste étant placé en titres négociables à taux fixe.
9.Le Comité estime que l'encaisse et les dépôts à terme ainsi que les placements à court terme sont des liquidités ou des équivalents de trésorerie par nature, c'est pourquoi ils auraient dû figurer en tant que tels dans l'état des flux de trésorerie.
10.Par ailleurs, étant donné que les avoirs bancaires sont composés essentiellement de dépôts à court terme qui ne peuvent pas être placés dans des projets à échéance éloignée, les possibilités d'investissement sont limitées d'autant, surtout dans les domaines dont les pays ont le plus besoin, par exemple l'infrastructure.