La Rapporteuse spéciale a souligné les cas de commercialisation de femmes et d'enfants sur Internet ou par des officines se présentant comme des agences matrimoniales ou encore des clubs de correspondants.
La Commission des Philippins expatriés a recommandé la mise à l'index de neuf étrangers qui organisaient des clubs de correspondance ou recrutaient des femmes philippines en vue de mariages à des étrangers.