1.La prolongation de la transition vers une gestion écologiquement viable des forêts contribue à la mise en péril de la stabilité politique, à la destruction de l'environnement et à la déculturation.
2.Cela étant, les peuples autochtones, dont certains sont sur le point de s'éteindre, restent en proie à la misère ainsi qu'à la discrimination, à la spoliation et à la déculturation, qui prennent des formes plus ou moins violentes.
3.Le passé a été revisité : les siècles d'esclavage et de colonisation, le pillage des richesses des pays du tiers monde, la dépersonnalisation de nos peuples, la déculturation, le pillage actuel de la matière grise de nos pays. Tout ceci a amené une délégation à refuser la notion d'effacement de la dette pour poser le problème dans les termes suivants : qui doit quoi à qui?