Un participant autochtone a prié instamment l'UNESCO d'inscrire la protection de la culture berbère et de la langue berbère, le tamazigh, à son programme de travail.
Il a été porté à l'attention du Groupe de travail qu'en Jamahiriya arabe libyenne la part de la population se réclamant de l'identité amazigh diminuait, en même temps que l'usage du tamazigh reculait.