1.Les changements climatiques allongent les saisons où se transmettent les maladies à vecteur comme le paludisme et la fièvre de dengue dont ils modifient la portée géographique.
2.Dans les zones à faible transmission où toutes les tranches d'âge sont vulnérables, les priorités nationales en matière de protection devraient être établies en fonction de la répartition géographique des cas de paludisme.
3.Ils ont des incidences sur l'approvisionnement en eau douce, la productivité agricole, la fréquence et la répartition des phénomènes météorologiques catastrophiques, et aussi sur l'apparition et les caractéristiques des maladies à transmission vectorielle.
4.S'agissant de renforcer les capacités en la matière, les aspects décisifs sont la capacité de préparation, le contrôle des maladies infectieuses nouvelles et les ressources humaines pour la santé, notamment eu égard à l'insuffisance et à la mauvaise répartition des personnels de santé formés.