3.Les comptes débiteurs sont présentés dans l'état II, déduction faite d'une provision de 10 688 214 dollars pour créances douteuses se décomposant comme suit
4.Pour toutes les autres sommes à recevoir, le Comité a besoin d'éléments de preuve établissant que l'invasion est une cause directe 'distincte' qui rend la créance en question irrécouvrable.
5.L'UNRWA, qui est convenu que sa politique des créances irrécouvrables pourrait être conservatrice, a fait observer que cette politique paraissait adaptée à certains pays, compte tenu des conditions politiques et économiques qui y prévalent.
6.Les dépenses de commercialisation indiquées au tableau 1A (20,3 millions de dollars) ne comprennent pas les dépenses directes des bureaux extérieurs de l'UNICEF, soit 3,9 millions de dollars, et la provision pour créances douteuses, soit 1 million de dollars.
7.La politique adoptée par le Programme de microfinancement et de crédit aux microentreprises en ce qui concerne l'ancienneté des portefeuilles, le taux de provisionnement et la passation par profits et pertes s'inspire des pratiques optimales définies par les organismes de notation du secteur du microfinancement.
8.Au paragraphe 120, le Comité a recommandé que l'UNRWA révise la politique comptable qu'il applique au traitement des provisions pour créances douteuses, en prenant en compte le type de prêt, la zone géographique et tous les autres facteurs qui déterminent les perspectives de recouvrement des prêts.
9.L'UNRWA a souscrit à la recommandation du Comité visant à réviser la politique comptable qu'il applique au traitement des provisions pour créances douteuses en prenant en compte le type de prêt, la zone géographique et tous les autres facteurs qui déterminent les perspectives de recouvrement des prêts.