Concilier les règles « safe harbour » avec certains traités peut poser problème parce que ces règles s'écartent parfois des conditions de pleine concurrence.
L'opinion publique a, à plusieurs reprises, démontré qu'elle appuyait clairement les objectifs de la CPI ainsi que le refus d'accorder tout refuge à l'impunité.
La frustration causée par les aspects concrets du recours aux conditions de pleine concurrence a amené certains pays à utiliser la formule « safe harbour ».
M. STOUFFLET (France) apporte son appui à la règle “refuge” proposée qui ajouterait une autre option à celles que prévoit le droit international privé.