Récemment, nous avons connu, dans les Balkans, les retombées meurtrières du retard mis par la communauté internationale à prendre les décisions nécessaires.
Nous sommes reconnaissants à toutes les nations du monde qui ont fermement adhéré à la politique de non-reconnaissance de l'occupation des États baltes.
Comme lui, 100 ans plus tard, ces jeunes ont découvert les Balkans, mais aussi un métier, le journalisme, et tout cela avec une langue commune, le français.
L’intérêt de ce projet, c’est qu’il permet à des jeunes Français de découvrir les Balkans, mais aussi à des jeunes de cette région de découvrir leurs cultures respectives, regardez.