2.Malheureusement, les femmes immigrées victimes d'actes de violence refusent le plus souvent de porter plainte contre leurs agresseurs et, en tout état de cause, retirent leurs plaintes avant que l'affaire n'en arrive aux tribunaux.
3.Dans le cas du viol conjugal, par exemple, si des lois vagues ou abstraites autorisaient le système à tolérer le retrait d'une plainte par la victime, ce qui mettrait fin à la procédure, le système judiciaire n'aurait pas honoré l'obligation qui lui est faite de protéger la victime.