Peu importe comment vous reculez, le contrôle de la pensée est et restera une chose inacceptable, s'indigna la représentante française, mais sur un ton moins dur que tantôt.
Au cloître, on souffre pour jouir. On tire une lettre de change sur la mort. On escompte en nuit terrestre la lumière céleste. Au cloître, l’enfer est accepté en avance d’hoirie sur le paradis.