Le nombre des incidents frontaliers a diminué à la suite de la signature du Mémorandum d'accord concernant la coordination tactique dans la zone frontière.
Sur le plan externe, les forces armées timoraises ne paraissent pas totalement en mesure de faire face, seules, à d'éventuels incidents graves à la frontière.
La Belgique partage l'inquiétude exprimée autour de cette table suite aux incidents frontaliers du 10 au 12 juin derniers autour de Ras Doumeira et de l'île de Doumeira.
Les graves incidents qui se sont déroulés à la frontière israélo-libanaise depuis le début d'octobre montrent cependant combien la situation demeure fragile au sud du Liban.
Un groupe de police d'intervention chargé de l'appui aux autorités timoraises serait en mesure de traiter d'un large éventail d'incidents susceptibles d'éclater, notamment dans la zone frontalière.
Nonobstant les relations harmonieuses entre le Timor-Leste et l'Indonésie sur le plan politique, il y a eu plusieurs incidents frontaliers potentiellement dangereux au cours des sept derniers mois.
La Fédération de Russie est gravement préoccupée par les affrontements graves qui ont eu lieu à la frontière entre Djibouti et l'Érythrée, au début de ce mois.
Cette attaque par-delà la frontière, qui ne faisait suite à aucune provocation, a duré environ 30 minutes au cours desquelles quelque 25 missiles et obus ont été tirés.
Dans le secteur occidental, on a noté une augmentation du nombre d'incidents impliquant des vols de bétail à travers la limite sud de la Zone de sécurité temporaire.
Nous pensons que la présence de la très professionnelle Force intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL) a permis de minimiser les incidents le long de la frontière.