La calomnie est définie habituellement comme une déclaration diffamatoire exprimée verbalement, et le libelle diffamatoire constitue une diffamation écrite.
Les États-Unis ont ajouté qu'une déclaration (ou toute autre communication) diffamatoire n'est pas seulement injurieuse, mais qu'elle est aussi fausse.
En particulier, la République islamique d'Iran continuera d'appuyer l'adoption d'une résolution de l'Assemblée générale sur les propos diffamatoires contre les religions.
Il ajoute que les allégations concernant certains juges de ce tribunal sont diffamatoires et constituent un abus du droit de présenter une communication.
Il est très tentant de traiter par le mépris la rhétorique totalement trompeuse, destructrice et simpliste dont est imprégnée cette lettre diffamatoire pleine de calomnies.
Il note que le requérant porte des accusations diffamatoires graves et qui ne sont réellement étayées par aucune preuve, à l'égard des autorités judiciaires tunisiennes.
Le Rapporteur spécial met en garde contre la confusion qui pourrait être faite entre une déclaration raciste et des propos diffamatoires à l'égard de la religion.
Par conséquent, les éléments constitutifs d'une déclaration raciste pourraient ne pas être les mêmes que ceux d'un propos «diffamatoire envers une religion» en tant que tel.
Le Comité a estimé que toute dénonciation de torture était grave, et que seul l'examen sur le fond pouvait permettre de déterminer si les allégations sont diffamatoires.
Un fonctionnaire avait adressé à de hauts fonctionnaires des télécopies anonymes, dans lesquelles il portait des accusations et employait un langage très insultant, susceptible d'être jugé diffamatoire.
Seul, le comte de Morcerf ne savait rien. Il ne recevait pas le journal où se trouvait la nouvelle diffamatoire, et avait passé la matinée à écrire des lettres et à essayer un cheval.