Dans son visage un peu asymétrique, je ne voyais que ses deux yeux, très clairs, qui m'examinaient attentivement, sans rien exprimer qui fût définissable.
Sa prunelle prenait quelque vivacité lorsqu’elle se fixait sur ses livres, et il souriait lorsqu’il considérait le Diogène Laërce, qui était un exemplaire unique.
Catherine le regarda un moment en silence. Elle devait le trouver joli, avec son visage fin et ses moustaches noires. Vaguement, elle souriait de plaisir.
Il prit l’enfant dans ses bras, l’enleva de son cheval, et le considéra avec la plus curieuse sympathie. Son visage intelligent était empreint d’une paisible émotion.
Et elle expliquait ses retards d’un air de niaise : elle s’était arrêtée pour regarder les images, ou bien elle avait accompagné Pauline qui savait des histoires.